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Sommaire :
- Gestion des
affaires médicales par le rectorat.
- Modalités d'accès
au temps partiel thérapeutique.
- Contrôle des
arrêts maladie.
- Journée
de carence.
- Congé
de Maladie Ordinaire (CMO).
- Congé de Longue
Maladie (CLM).
- Congé de Longue
Durée (CLD).
- L'occupation
à titre thérapeutique durant un congé maladie
(CLM, CLD) ou un congé pour invalidité
temporaire imputable au service (CITIS).
- Accident
de service. Accident de trajet. Accident
de travail. Maladie professionnelle.
- Handicap - RQTH
(faire reconnaître
sa pathologie en déposant un dossier de demande
de RQTH auprès de la MPDH).
- Recensement des
personnels en situation de handicap et
bénéficiaires de l’obligation d’emploi.
- Dispositif
d'accompagnement des personnels d'enseignement,
d'éducation et d'orientation du second degré
confrontés à des difficultés de santé.
- Demandes
d’aménagement de poste de travail des personnels
en situation de handicap, inaptes ou en voie
d’inaptitude.
- Congés de maladie
des agents de la fonction publique d'état -
Guide à destination des personnels.
Gestion des affaires médicales par le rectorat
I /
Les droits à congés pour raison de santé et
démarches à effectuer par l’agent :
1-1 /
Pour les titulaires et les stagiaires : congés
ordinaires de maladie, CLM et CLD
1-2 /
Pour les non-titulaires : congés ordinaires de
maladie et congé de grave maladie
II /
Procédures et suivis des congés :
2-1 /
Les congés de maladie
2-2 /
Les CLM, CLD et congés de grave maladie
2-3 /
La disponibilité pour raison de santé et le congé
sans traitement
III /
Le fonctionnaire déclaré inapte définitivement à
reprendre ses fonctions
3-1 /
Le fonctionnaire inapte à ses fonctions statutaires
: reclassement professionnel
3-2 /
Le fonctionnaire inapte à son poste et à tout poste
dans la fonction publique : retraite invalidité
IV /
Le temps partiel thérapeutique
4-1 /
Des fonctionnaires et stagiaires
4-2 /
Des agents contractuels
ANNEXES
:
Annexe
1 : service compétent par catégorie de personnel
Annexe
2 : formulaire de demande de CLM / CLD / congé de
grave maladie / reprise de fonction.
Annexe
3 : formulaire de demande de temps partiel
thérapeutique
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Modalités
d’accès au temps partiel thérapeutique
Jusqu’en 2017, le
temps partiel thérapeutique ne pouvait être accordé
qu’à l’issue d’un Congé de Longue Maladie (CLM) ou
d’un Congé de Longue Durée (CLD). Pour une
pathologie donnée, le droit au temps partiel
thérapeutique était limité à une année durant la
carrière. En 2017, les conditions d’obtention du
temps partiel thérapeutique avaient été assouplies
en permettant son octroi à l’issue d’un Congé de
Maladie Ordinaire (CMO) sans durée
minimale.
Le décret
2021-997 du 28 juillet 2021 relatif au temps
partiel pour raison thérapeutique dans la fonction
publique de l’Etat comporte des évolutions
considérables pour les personnels confrontés à des
difficultés de santé.
- Il
est désormais possible de bénéficier d’un temps
partiel thérapeutique sans avoir préalablement été
en congé maladie.
- Le
droit au temps partiel thérapeutique pour une
pathologie donnée n’est plus limité à une année pour
l’ensemble de la carrière. Il est désormais possible
de reconstituer ce droit après un délai d’un an en
activité (y compris en congé maladie) ou en
détachement. Obtenir durant sa carrière plusieurs
années de temps partiel thérapeutique pour la même
pathologie devient possible à condition d’avoir
reconstitué ce droit.
L’autorisation
d’accomplir un service à temps partiel pour raison
thérapeutique est accordée et, le cas échéant,
renouvelée par période de un à trois mois dans la
limite d’une année.
La demande
d’autorisation de servir à temps partiel pour raison
thérapeutique doit être envoyée par courrier au
recteur (Division de l’Accompagnement des Personnels
- Service des Affaires Médicales du rectorat)
accompagnée d’un certificat médical qui mentionne la
quotité de temps de travail, la durée et les
modalités d’exercice des fonctions à temps partiel
pour raison thérapeutique prescrites.
Les
quotités de temps de travail possibles sont 50 %, 60
%, 70 %, 80 % ou 90 % de la durée du service
hebdomadaire.
L’administration peut
faire procéder à tout moment par un médecin agréé à
l’examen du fonctionnaire intéressé, qui est tenu de
s’y soumettre sous peine d’interruption de
l’autorisation dont il bénéficie.
En cas de demande de
prolongation du temps partiel thérapeutique au-delà
d’une période totale de trois mois, l’administration
fait procéder par un médecin agréé à l’examen de
l’intéressé.
Le médecin agréé rend
un avis sur la demande de prolongation au regard de
sa justification médicale, de la quotité de travail
sollicitée et la durée de travail à temps partiel
thérapeutique demandée.
Quelle
que soit la quotité de temps partiel thérapeutique,
l’agent perçoit l’intégralité de son traitement et
de l’indemnité
de résidence, ainsi que le cas échéant, du supplément
familial de traitement.
L’octroi du temps
partiel thérapeutique met fin à tout régime de
travail à temps partiel antérieurement accordé
(rétablissement du plein traitement).
Les heures
supplémentaires sont incompatibles avec le temps
partiel pour raison thérapeutique.
Les
périodes de temps partiel thérapeutique sont
considérées comme à temps plein pour la
détermination des droits à l’avancement d’échelon et
de grade et pour la constitution et la liquidation
des droits à pension civile.
Procédure à suivre et formulaire à
remplir pour formuler la demande :
- Lire le Bulletin Académique n° 907 du
8 novembre 2021
- Lire également le Bulletin Académique
spécial n° 515 du 6 mai 2024
Texte de référence
:
Décret 2021-997
du 28 juillet 2021 relatif au temps partiel pour
raison thérapeutique dans la fonction publique
de l’Etat
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Contrôle
des arrêts maladie
Le décret n° 2014-1133
du 3 octobre 2014 réaffirme l’obligation,
pour tout fonctionnaire, d’adresser l’avis
d'interruption de travail à l'administration
dont il relève dans un délai de quarante-huit
heures suivant son établissement. Il
vient également modifier la réglementation en
vigueur s’agissant des modalités de contrôle des
arrêts maladie des personnels.
Ainsi, lorsque
l'envoi de l'avis d'interruption de travail est
opéré au-delà du délai de 48 heures suivant son
établissement, l'administration informe par
courrier le fonctionnaire du retard constaté et de
la réduction de la rémunération à laquelle il
s'expose en cas de nouvel envoi tardif dans les
vingt-quatre mois suivant l'établissement du
premier arrêt de travail considéré.
En
cas de nouvel envoi tardif dans un délai de
vingt-quatre mois, le montant de la rémunération
afférente à la période écoulée entre la date
d'établissement de l'avis d'interruption de
travail et la date d'envoi de celui-ci à
l'administration est réduit de moitié.
Toutefois,
cette réduction de la rémunération n'est pas
appliquée si le fonctionnaire justifie d'une
hospitalisation ou, dans un délai de huit jours
suivant l'établissement de l'avis d'interruption de
travail, de l'impossibilité matérielle d'envoyer cet
avis en temps utile.
Dans ce cadre, il
appartient à tout chef de service (IA-DASEN, chef
d’établissement, directeur de structure, chef de
service …) d’informer directement le fonctionnaire
concerné par lettre recommandée avec avis de
réception avec copie au service de gestion de
personnel dont relève l’agent (DIPE, DIEPAT, DSDEN)
puis, lorsqu’un nouvel envoi tardif survient dans
les 24 mois suivants, de saisir ledit service de
gestion de personnel d’une demande de réduction de
rémunération.
Lire le Bulletin Académique n° 659 du
2 février 2015.
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La
journée de carence s'applique à nouveau depuis
le 01/01/2018.
Annoncée fin 2011 (voir
« Courrier du SIAES » n° 51), cette
journée est officiellement instaurée par l’article 105
de la loi du 28/12/2011 de finances pour 2012.
Lire le communiqué du SIAES/SIES.
Une circulaire du ministère de la fonction publique du 24
Février 2012 (téléchargeable
ici) détaille les modalités d’application de
l’article 105. Le
Bulletin Académique n° 560 du 16 Avril 2012 (téléchargeable
ici) détaille les modalités d'application de
l'article 105. Du
1er Janvier 2012 au 31
Décembre 2013,
chaque arrêt de travail
pour Congé de Maladie Ordinaire entrainait la
retenue d’une journée de carence
c’est à dire
le non versement de la rémunération au titre du
premier jour de Congé de Maladie Ordinaire. Une
seule journée était retenue en cas d’affection
longue durée, en cas de prolongation d’un arrêt ou
d’un deuxième arrêt faisant suite au premier dans
les 48 heures.
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Congé
de Maladie ordinaire (CMO) :
Certificat médical obligatoire pour arrêt de
travail. Traitement complet dans la limite de trois
mois sur un an. Ensuite demi-traitement sur neuf
mois, avec complément par la mutuelle.
L'Administration comptabilise pour ce faire les
jours de congé sur une année, à compter du premier
congé. Les jours de vacances sont comptabilisés
s'ils sont inclus dans la période d'arrêt de
travail. Ils ne le sont pas si la reprise du travail
se fait la veille ou à la rentrée des vacances. Faire
donc très attention aux dates de l'arrêt du travail
portées par le médecin. Dans
tous les cas l'Administration a la possibilité de
faire contrôler par un médecin du travail le bien
fondé de la maladie et le
respect des heures de présence à domicile (sauf autorisation de
sortie permanente).
Congé de longue maladie (CLM)
: sur avis du
comité médical. 3 ans maximum par tranches de 6
mois, avec plein traitement la première année, 1/2
traitement ensuite, avec complément par la mutuelle.
Le poste est conservé. Comme pour le CLD (voir
ci-après) la liste des maladies ouvrant droit à un
CLM est fixée réglementairement.
Congé de longue durée (CLD)
: sur avis du comité médical. Suit nécessairement un
CLM d'un an. De 3 mois à 5 ans. Plein traitement les
3 premières années, 1/2 traitement ensuite, avec
complément par la mutuelle. Poste généralement
récupéré par l'Administration (avec retour éventuel
prioritaire). Liste ouvrant droit fixée
réglementairement.
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L'occupation
à titre thérapeutique durant un congé
maladie (CLM, CLD) ou un congé pour
invalidité temporaire imputable au service
(CITIS).
Lire le
Bulletin Académique n° 985 du 16 octobre 2023.
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Demandes d’aménagement de
poste de travail des personnels en situation de
handicap, inaptes ou en voie d’inaptitude.
Lire le
Bulletin Académique n° 988 du 20 novembre 2023.
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Accident
de service. Accident de trajet. Accident de
travail. Maladies professionnelles.
Lire
le Bulletin Académique spécial n° 514 du 6 mai 2024.
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Handicap
- RQTH
Faire
reconnaître sa pathologie en déposant un
dossier de demande de RQTH auprès de la
MPDH.
Article publié dans le "Courrier
du SIAES" n° 59 de décembre 2013
L'article 2 de la loi du 11/02/2005
portant sur l'égalité des droits et des chances, la
participation et la citoyenneté des personnes
handicapées définit le handicap comme « toute
limitation d'activité ou restriction de
participation à la vie en société subie par une
personne dans son environnement, par une personne en
raison d'une altération substantielle, durable ou
définitive d'une ou plusieurs fonctions physiques,
sensorielles, mentales cognitives ou psychiques,
d'un poly-handicap ou d'un trouble de santé
invalidant. »
La
RQTH (Reconnaissance de Qualité de
Travailleur Handicapé) est attribuée par la MDPH
(Maison Départementale des Personnes
Handicapées). La MDPH est indépendante de
l'Education Nationale. Contrairement à certaines idées
reçues, il n'existe aucun risque pour un
fonctionnaire à faire valoir ses droits et demander
la RQTH (qu'il pourra présenter à
l'administration en cas de besoin). Peuvent bénéficier
de la RQTH les personnes atteintes d’un handicap,
d’une maladie chronique (asthme, diabète ...) ou d’une
maladie ayant des répercussions sur leur travail
(allergie, rhumatismes, arthrite ...)
La RQTH est
impérative pour toute demande de priorité au titre
du handicap (bonification) dans le cadre des
mutations inter-académiques et/ou
intra-académiques. Le récépissé de dépôt de
demande de RQTH (demande en cours) n’est plus
accepté par l’administration à compter de
l'année scolaire 2013-2014. Être titulaire
de la RQTH est désormais obligatoire pour demander
une bonification. Nous conseillons donc aux
personnes concernées d’entamer sans attendre les
démarches auprès de la MDPH.
La
RQTH est également importante dans le cadre du
dispositif d'accompagnement des personnels
confrontés à des difficultés de santé (aménagement
du poste de travail, affectation sur poste adapté de
courte ou longue durée) et pour faire valoir ses
droits quant à sa pathologie et au handicap qui
en découle en cas d'affectation en service partagé
entrainant de longs trajets ou des contraintes
horaires incompatibles avec le handicap (titulaires
d'un poste fixe et TZR).
ou par téléphone 04 91 34 89 28 / 06 80 13 44 28
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Recensement
des personnels en situation de handicap et
bénéficiaires de l’obligation d’emploi.
Lire
le Bulletin Académique n° 721 du 7 novembre 2016.
L'annexe de ce BA est à
renvoyer au rectorat avant le 31 mars 2017
La loi du 11 février
2005 pour l’égalité des droits et des chances, la
participation et la citoyenneté des personnes
handicapées, instaure de nouveaux droits pour les
personnes en situation de handicap. Se déclarer
personnel handicapé, permet ainsi de bénéficier de
droits spécifiques tout au long de sa carrière :
- Aménagement du
poste de travail : l’administration finance
l’aménagement du poste de travail par l’adaptation
ou l’achat des équipements individuels nécessaires
aux travailleurs handicapés dans l’exercice de leurs
fonctions. Une assistance humaine peut également
être prévue dans certains cas.
Lien
vers la page de notre site internet consacrée à ce
dispositif.
- Les aménagements
horaires : des aménagements horaires pour
faciliter la vie professionnelle ou le maintien dans
l’emploi sont accordées aux personnes en situation
de handicap ou pour tout fonctionnaire, pour lui
permettre d’accompagner une personne handicapée.
Lien vers la page
de notre site internet consacrée à ce dispositif.
- Les formations
adaptées au handicap et spécifiques au handicap
: les personnes handicapées ont accès à toutes les
formations proposées aux agents et celles-ci sont,
le cas échéant adaptées à leurs besoins. Elles
peuvent également, après avis du médecin de
prévention, bénéficier de formations spécifiques
relatives à leur handicap.
- Temps partiel de
droit : l’autorisation d’accomplir un service
à temps partiel est accordée de plein droit aux
personnels en situation de handicap, après avis du
médecin de prévention. La rémunération est alors
calculée en fonction de la réglementation du temps
partiel. Lien
vers la page de notre site internet consacrée au
temps partiel.
- Priorité
médicale pour les mutations : cette priorité
est accordée aux personnes en situation de handicap
si la demande de mutation est assortie d’un avis du
médecin de prévention attestant que la demande vise
à améliorer effectivement les conditions de vie. La
Reconnaissance de Qualité de Travailleur Handicapé
(RQTH) est impérative pour toute demande de priorité
au titre du handicap. Le récépissé de dépôt de
demande de RQTH n’étant plus acceptée, il convient
de présenter obligatoirement la RQTH pour demander
la bonification.
Lien
vers la page de notre site internet consacrée aux
mutations.
- Prise en compte
du handicap dans le dossier de retraite (selon
le décret n° 2006-1582 du 12 décembre 2006) : les
fonctionnaires en situation de handicap peuvent,
sous certaines conditions, être admis à la retraite
avant l’âge légal. Ils doivent justifier d’une durée
d’assurance minimale, d’une durée d’assurance
cotisée minimale et d’un taux d’incapacité ou tout
document précisant le taux ou la reconnaissance de
qualité de travailleur handicapé (uniquement pour
les périodes antérieures au 31.12.2015). Lien
vers la page de notre site internet consacrée à la
retraite.
- Des chèques
vacances : pour les agents handicapés
répondant aux conditions requises pour pouvoir
bénéficier des chèques vacances, la bonification
versée par l’Etat est augmentée de 30%.
- Les frais de
déménagement : lorsqu’une personne en
situation de handicap est amenée à déménager afin
d’évoluer dans son emploi ou de le conserver, les
frais de déménagement peuvent être pris en charge
(dans la limite de 765 euros par agent). Cette aide
peut aussi être allouée à une personne sans emploi
qui est dans l’obligation de déménager à l’occasion
d’une embauche.
- Des bilans de
compétence et formations pour préparer des
reconversions.
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Voir
aussi :
CONGES DE MALADIE DES AGENTS DE LA FONCTION
PUBLIQUE D’ETAT - Guide à destination des
personnels publié au Bulletin Académique n° 622
du 03/02/2014 - Il est recommandé de contacter le SIAES
et de prendre conseil avant d'entreprendre toute
démarche.
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Voir aussi :
Dispositif d'accompagnement des
personnels d'enseignement, d'éducation et
d'orientation du second degré confrontés à des
difficultés de santé
Voir aussi :
RESEAU ACADEMIQUE D’AIDE AUX PERSONNELS EN
DIFFICULTES (Bulletin Académique n° 623 du
10/02/2014) - Il est recommandé de contacter
le SIAES et de prendre conseil
avant d'entreprendre toute démarche.
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